André Malraux

Malraux, l’Espoir, Résumé

Partie I : L’Apocalypse de la fraternité

L’illusion Lyrique

Juillet 1936. Des soulèvements de militants fascistes (membres de l’armée, de la garde civile et de l’église) secouent l’Espagne. Face à cette menace grandissante les partisans républicains et les anarchistes s’arment.
Ramos et Manuel, deux syndicalistes s’inquiètent de la progression des troupes franquistes vers la capitale.
A Barcelone, les anarchistes menés par le « Negus » et Puig tentent d’endiguer les mouvements rebelles. Les adversaires s’affrontent sur la Place de la Catalogne.
A Madrid, les miliciens de la République assaillent la Caserne de la Montagne, repère des rebelles fascistes. Jaime Alvear rejoint les rangs des militants républicains.
Les deux camps se livrent une lutte sans merci.
Manuel, ancien ingénieur du son et membre du parti Communiste, est nommé Commandant de Compagnie de l’armée républicaine. L’apprentissage du commandement et les responsabilités qui lui incombent l’amènent à réfléchir sur les fondements de la lutte armée.
Magnin, un aviateur ; Vargas, le directeur des opérations militaires du Ministère et Garcia prennent conscience de l’ampleur de la guerre civile : pour vaincre l’ennemi, il leur faut organiser l’Apocalypse.

Exercice de l’Apocalypse

A Tolède. Les républicains assiègent l’Alcazar, le repère des fascistes. Le bombardement d’Alcazar est un échec : Marcelino meurt et Jaime perd la vue.
Manuel obtient un poste d’officier aux cotés de Ximénès, un chef de la garde civile rallié aux Républicains.
Un médiateur est envoyé dans le camp ennemi. Mais la manœuvre est un échec. Les combats reprennent.
Les militants républicains se réunissent au Musée de Santa-Cruz. Les divergences idéologiques qui opposent les partisans sclérosent la résistance.
Mais bientôt, l’armée franquiste marche sur la ville. Les Brigades internationales prêtent main forte aux républicains. Pepe et Gonzales, deux dynamiteros, attendent les tanks ennemis.
Mais les efforts d’Henrich, de Manuel et de Hernandez sont vains : les partisans républicains prennent la fuite. Henrich et Manuel quittent Tolède. Ils rejoignent la Capitale assiégée. Hernandez ne renonce pas à libérer Tolède. Il est arrêté et exécuté.

Partie II : le Manzanarès

Être et faire

A Anjanruez, Manuel parvient à rassembler les miliciens en fuite. Magnin bombarde le port de Palma de Majorque. Pendant ce temps des Brigades Internationales sont formées.
Madrid est investie par les troupes fascistes. Le gouvernement quitte la ville et s’installe à Valence.
Les troupes républicaines organisent la défense de la capitale. Manuel est promu Lieutenant-Capitaine.

Guernico, un écrivain catholique partisan des Républicains, discute avec Garcia : l’écrivain explique pourquoi il est farouchement opposé cette Eglise corrompue et rétrograde.
Chacun rêve à la naissance d’une nouvelle civilisation.

Sang de gauche

Les nationalistes bombardent Madrid. Les civils blessés sont à l’agonie, les paysans sont contraints à l’exode. La ville est à feu et à sang. La cité universitaire est prise d’assaut pas les troupes ennemies.
Manuel mène une bataille dans la Sierra Guadarrama. Il se trouve confronté à la monstrueuse réalité de la guerre : Manuel est obligé de faire exécuter les déserteurs en dépit des supplications des condamnés.

Garcia rassemble la presse étrangère : en révélant aux journalistes internationaux les intentions de Franco, il espère obtenir le soutient des gouvernements étrangers.
Shade dicte au téléphone un article exhortant les Américains à s’engager dans la guerre en faveur de la paix et des valeurs de la République.
Garcia et Scali discutent sur le rôle des intellectuels en temps de guerre.

De féroces combats se poursuivent à la cité universitaire. Maringaud, un français des Brigades internationales, lutte sans merci pour la défense de la cité. Avec l’aide des Dynamiteros et de Négus les troupes fascistes sont repoussées.
Les victoires des Républicains se font de plus en plus nombreuses. Un vent d’espoir souffle sur la ville en ruines.

Partie III : L’espoir

Février 1939.
La ville de Malaga est aux mains des Franquistes. Les aviateurs Magnin et Attignies bombardent l’ennemi. Un avion s’écrase. Attignies blessé parvient à rejoindre un hôpital.
Le lendemain, avec l’aide d’un paysan, Magnin détruit une base aérienne ennemie. Les Franquistes ripostent. Les villageois de Valdelinares rejoignent Magnin : on conduit les blessés à l’hôpital.
Pendant ce temps une bataille décisive est livrée à Guadalajara.

Mars 1939, Guadalajara.
Une lutte farouche oppose les Républicains et les Franquistes. Les Brigades internationales parviennent à prendre le Palais Ibarra investi par les ennemis.
Les internationaux et les troupes de Manuel mettent en échec les Franquistes.
Manuel, Garcia, Ximenès et Magnin se retrouvent.
Quelques combattants jouent du piano : au son de la musique, Manuel retrouve son humanité et le gout de la vie.

Du même auteur Malraux, La Condition Humaine, Résumé partie par partie

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